La coureuse et Pleymo
Dim 07 novembre 2004
La Coureuse nous a gratifié d'un texte encore une fois
virevoltant
sur le concert de Pleymo auquel elle a assisté.
Je suis déjà allé voir Pleymo, c'était à l'occasion de la rando roller
organisée à Hendaye l'été dernier.
Ma première vraie rando avec REH,
d'ailleurs, qui se déroulait dans le cadre d'un festival de musique :
N'Daya Fou d'Zik (orthographe vraisemblable - pas envie de vérifier).
C'est du gros, du lourd, du bourrin. Mais la voix du chanteur me gêne.
Cette espèce d'accent parigot pendant les envolées lyriques, ce semblant
de diction qui lui fait dire "espou-ar" au lieu de "espoir", bof bof.
D'autant que la fameuse chanson "douce" (le chanteur en solo de guitare
folk, un slow gnangnantieux qui n'a eu d'autre effet sur le public
qu'une profonde léthargie).
Y'a eu un grand moment, quand même. J'en avais vaguement entendu parler,
ça s'appelle "Braveheart". En gros, le chanteur divise la fosse en
deux parties, une à droite, une à gauche. Les deux moitiés s'écartent de
quatre-cinq mètres et au signal (un / deux / trois / quatre)... ben...
Braveheart.
Tu mords l'esprit ? Ca assure. J'adore
-Mongo Fury.