Un dimanche pour rien

Dim 10 juillet 2005

Ouais, évidemment, en se couchant à 5h du mat, il fallait pas s'attendre à ce que je voie la lumière du matin. Après un déjeuner léger, volontairement non arrosé de café, j'ai pu patiemment attendre que le sommeil me prenne doucement, face à la 9° étape du Tour de France. Quand je me suis réveillé, le maillot jaune avait changé d'épaules.
18h.
Je me rends alors compte que je n'ai adressé la parole à personne, ni verbalement, ni textuellement, et que j'ai dû parcourir 20 mètres à tout casser entre ma piaule, la salle de bain et mon fauteuil.
Encore un dimanche pour rien, quoi.